FOSS4G édition 2010 a démarré …

Chaque année la communauté OSGeo se retrouve autour de sa conférence internationnale FOSS4G. Pour 2010, elle rassemble plus de 1000 personnes d’une soixantaine de pays à Barcelone pour 4 jours. Un retour en Europe, après Lausanne en 2006, puis Victoria, Cape Town et Sydney. Ce post démarre une sélection du meilleur de ce que la délégation Comem sur place a pu découvrir.

Commençons par la plénière du premier jour. Elle a du rythme avec la présentation de quelques chiffres et les logos des sponsors habituels, plus un inhabituel qui ne sera pas cité mais néanmoins apprécié. Miguel Montesinos présente alors sa définition de FOSS4G et la notion de logiciel « privative » avant d’afficher une métaphore. Suivre la voie « privative » est comme suivre le courant strict d’un fleuve sans alternative, alors que l’approche open source se compare à un océan de liberté. Un discours invitant l’auditeur à expérimenter l’approche open source pour répondre aux questions habituelles et fondamentales qui se (re)posent. Les réponses venant des « gurus » et des livres sur le sujet n’apportent que de la théorie. Experiment yourself !

Le rythme est conservé au niveau grâce à un Schuyler Erle en pleine forme … « you are awesome » voit-on afficher en s’adressant à la communauté OSGeo et expliquant tout son enthousiasme, notamment sous l’angle du « crowdsourcing ». Il décrit comment le travail de cette communauté a pu être bénéfique pour l’aide hummanitaire autour du groupe HOT (Humanitarian OpenStreetMap Team). Citation: « Aucune carte du monde n’est digne d’un regard si le pays de l’utopie n’y figure pas. [Oscar Wilde] ».

Arnulf Christl clot la session plénière dans son rôle de président de l’OSGeo par un discours visant à galvaniser les troupes présentes. Have fun doing IT !

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